Virginie Où LArt De La Fellation (Épisode 2)
Bonjour, Cest Bob. Tout dabord merci pour vos nombreux messages et pour ceux qui mont
demandé personnellement si cette histoire était vraie, je ne peux que confirmer ce que je
leur ai déjà dit en privé.
Voici donc la suite tant espérée et pour ceux qui naurait pas compris le titre de ce
récit, je préciserai juste ceci :
Aujourdhui, Virginie est devenue une suceuse hors-pair. Alors oui, il est bien des
femmes qui sucent divinement bien (et jen connais quelques-unes) et pourtant, de mémoire
dhomme, je nen connais aucune qui suce avec autant de talent à tel point quun jour je
demandais à ma belle, alors quelle me suçait dans le salon de sa mère :
« - Ma parole, chérie, tu as pris des cours ? Quelquun ta appris à sucer ! »
Je ne croyais à lépoque pas si bien dire car du jour où je prononçais ces paroles je
croyais encore que ma belle navait sucer que moi, que jétais son premier, et le seul
homme à avoir investi sa bouche. Pendant un certain temps (plusieurs jours), ma chérie ne
me disait rien à ce sujet et me laissait transpirer du doute et du plaisir quelle me
donnait à chaque fois.
De ces débuts dans lart de la fellation, elle avait changé du tout au tout. Je cru un
instant que cétait les films que nous visionnons ensemble, puis non, elle mavoua un
jour quil ny avait pas que ça et cest vrai, elle suçait divinement mieux que dans
nimporte quel film porno. Une vraie reine de la pipe pouvais-je alors dire delle.
Quand elle mannonça quil ny avait pas que ça, ma curiosité fut titillée et dans
lexcitation du moment je lui demandais et disais souvent : « ma parole, tu as dû en
sucer des queues, toi ! », ce à quoi elle répondit en samusant « ah oui ? peut être !
plein ! »
Ces paroles de ma chérie me firent bander de plus belle et à chaque fois je venais jouir
en elle au fond de sa bouche et à chaque fois elle avala ma semence jusquà la dernière
goutte.
décalotté caressait ses lèvres quelle posait avec douceur sur son sexe. Elle absorbait
tout ma queue, tournant sa langue à lintérieur de sa bouche autour de mon gland. Je
pouvais la regarder, de face, de profil, dans toutes les positions imaginables, tous les
lieux insolites, dans le train, dans le bus, au ciné, à la campagne, tout.
Il y avait bien aussi cette fois où, alors quil y avait du monde chez elle, elle me suça
en toute discrétion dans une pièce avoisinante. La vérité est que oui, cette fille-là, au
nom de Virginie, était une véritable bombe sexuelle et je commençais seulement à men
rendre compte.
Aussi, je lui demandais plus sérieusement pour la fellation, où avait-elle appris à faire
tout cela, car vraiment, du jour au lendemain, sa façon de faire avait changé et dun
geste parfois un peu mécanique et répétitif, elle avait appris sans que jy sois pour
quelque chose, à varier ses caresses et ses plaisirs en tournant par exemple davantage sa
langue sur ma queue, le gland en particulier, en usant de cette même langue pour sucer et
lécher mon sexe sur tout sa longueur. Parfois même, elle me regardait parfois dans les
yeux au moment même où je sentais ma semence déglutinée dans sa gorge ; Parfois encore,
je cherchais à prendre ma queue en main pour mieux la lui mettre profond dans sa bouche
de rêve mais si souvent, elle men empêcha en me disant : « non, laisse-moi faire toute
seule », jusquà jouir encore, dans sa bouche.
A quoi pensait-elle dans ces instants où elle me suçait. Elle venait alors davoir dans
sa vie dautres relations avec des hommes. Il ne sagissait pas de relations sexuelles
comme on pourrait lentendre demblée, du moins, pas que je sache. La seule chose est que
Virginie arriva à un instant de sa vie où les hommes sapprochèrent et sintéressèrent à
elle, pour son charme, son sourire, sa joie de vivre.
La belle avait effectivement le contact facile, peut-être bien plus avec les hommes
quavec les femmes, du moins, cest ce quelle mavoua ultérieurement et cest aussi ce
que je constatais régulièrement.
Son corps changeait parce quelle se faisait plus belle. Dune tenue classique en pulls
larges et jeans qui cachaient ses formes, la belle se faisait plus désirable, mettant
dorénavant mini-jupes et chemisiers ou débardeurs échancrés, se faisant belle, sexy à
souhait, attirant de fait les regards jusqualors absents de la gente masculine.
Virginie savait dorénavant quelle plaisait, se maquillait pour être encore plus belle,
toujours sans forcer pour ne pas être vulgaire. A chaque occasion, elle portait jupe
courte toujours au-dessus du genou, dénudait ses bras et ses avant-bras, jusquaux
épaules quand elle le pouvait en mettant des robes fines et légères dont les bretelles
parfois étaient imperceptibles.
Cest dans ces conditions donc que ma belle se perfectionna dans lart de la fellation.
Avait-elle alors sucé dautres que moi pour en arriver à ce savoir-faire. Peut-être. La
réalité est que je ne le saurais jamais, faute de preuves, de photos ou denregistrement.
Il ne me reste que quelques indices ou témoignages qui me font penser que. Mais enfin, il
nest pas compréhensible quune fille puisse acquérir autant de talent en ne suçant quun
seul mec.
A suivre.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!